Conférence 27 mars 2023

Lundi 27 mars entre15 h et 17 heures
Maison des Associations Boulogne-sur-Mer
19, rue de Wicardenne-

Mr Albrecht von Söhnen présente

Albert de Saxe-Cobourg, époux de la reine Victoria

Un boulevard à Boulogne-sur-Mer porte son nom – quel est le lien entre
l’époux de la reine Victoria et la ville portuaire ?
Albert de Saxe Cobourg est venu deux fois à Boulogne-sur-Mer,
>une première fois, pour rencontrer l’empereur Napoléon III à l’été 1854, lors de la guerre de Crimée;
>> la seconde fois, un an plus tard en visite officielle, en compagnie de la reine.
Boulogne- sur -mer était alors au plus fort de sa gloire…La Famille Royale aussi… Les relations avec la France, en pleine Entente Cordiale…
Où était Charles Dickens? Quels furent ses relations avec le Prince Albert et le couple royal ?
Vous apprendrez mille et un secrets et plus, en assistant à cette conférence qui promet d’être passionnante et qui tentera de mieux cerner le personnage du Prince Consort, son rôle pendant le règne de la reine Victoria.
Un plaisir à partager
Entrée libre

Publicité

L’ami DICKENS en route pour Paris

Et oui, notre amis Dickens fait ses bagages pour Paris, qu’il aimait bien d’ailleurs, pour ses théâtres et ses cafés avec le petit verre d’après le spectacle, cette spécialité bien française qu’il appréciait. Mais e n’est qu’un « Au revoir, Boulogne sur mer » et ces Flandres Françaises qu’il aimait bien plus encore et qu’il a longuement exploré.
L’association se déplace et s’installe dans un quartier qu’il ne connut pas alors, car dans un faubourg hors de Paris,  » le Val Girard », moitié paysan, plus tard ouvrier et plus tard encore bien intégré dans le paysage parisien. Boulogne devient la Branche des Flandres de l’association et les activités prévues (conférences:  » Les Méthodistes » par Mr Alain Joblin le 30/01 ; Le Prince Albert, époux de la Reine Victoria » par Mr Abrecht Von Shoenen le 24 mars; et la très attendue  » Disraëli romancier » par S. Danel, fin avril)…et bien sur Le repas anniversaire le 7 février 2023, à Boulogne sur mer.

Pour Paris, les principes restent fondamentalement fidèles à l’origine de l’association « amitié et humanisme » dans le respect de l’esprit Dickensien ». Cependant à cela s’ajoute la transmission à travers, d’une part les recherches et traductions de l’oeuvre journalistique, et des activités culturelles autour de lectures à haute voix, en français et en anglais dans un café connu, et également les bibliothèques, les établissements scolaires, et (qui sait? ) quelques facultés amies.
Alors prêts pour la route? Envie de nous joindre? Contactez nous…On vous attend
La nouvelle adresse du siège social : 107, avenue Félix Faure- 75015 -Paris; ou via notre boite mail
A bientôt pour une nouvelle aventure…
ApK

Un chant de Noël en représentation

Quel lieu plus magique que le théâtre Elisabéthain du château d’Hardelot, haut lieu de la culture Dickensienne entre autres, pour une représentation du conte le plus connu et le plus interprété de Charles Dickens Un chant de Noël. Quelle scène la plus somptueuse que celle de ce lieu unique en France pour une lecture- spectacle par dix élèves de la classe Préparatoire d’Enseignement Supérieur  (CPES) du  Conservatoire de Lille, sous la direction de Mme Agnès Delbarre, professeur, réalisatrice, metteure en scène. Un présent offert par une belle union d’efforts et de volonté entre le Département du Pas- de- Calais, le château d’Hardelot, le Conservatoire de Lille et les Amis de Charles Dickens France, et apprécié par tous, ainsi réunis en cette veille de fêtes de fin d’année.
Quelques explications
Une lecture spectacle selon le conservatoire de Lille qui s’est déroulér sur deux temps : Pour commencer, un ensemble de lectures à voix haute, du texte réparti sur dix épisodes enregistrés pour la radio France Bleu Nord, qui permet de travailler l’interprétation à travers la voix et faire passer l’énergie par le vocal sans le corps ? En quelque sorte dire, transmettre les émotions, au-delà de la page sans être vu ni donner à voir. Le résultat peut s’écouter et se télécharger :
https://www.francebleu.fr/emissions/un-chant-de-noel-une-histoire-de-charles-dickens
Cette première étape maitrisée permet alors la mise en œuvre d’une version scénique toujours dans l’esprit de la lecture mais cette fois en gardant dans le viseur à des fins pédagogiques, l’aspect spectacle vivant et de fait, marquer les différences d’engagements dans les deux formes de jeux. Le tout renforcé et illustré par des chants choisis et des danses adaptés par Emanuela Ducornez et Barbara Falco, également enseignantes au Conservatoire de Lille.
L’histoire ? Le héros?
Scrooge…Tout le monde le connait non?

Ce vieux grigou, replié sur lui -même, qui rejette tout le monde et lance un regard aigri sur les préparations de la fête de Noël, mais se retrouve confronté à ses fantômes intérieurs : ses erreurs, ses échecs, ses peines
et ses émotions enfouies pour s’ouvrir au miracle de Noël, désormais l’Esprit de Noël selon Dickens, élan de compassion et de générosité partagé depuis dans le monde entier, au-delà de toute religiosité.
Le spectacle
Rondement mené par de jeunes acteurs, plus talentueux les uns que les autres et tout particulièrement Théo Vasseur, le Scrooge grincheux à souhait et miraculé ; Loïc Warlop, le neveu joyeux et optimiste ; le timide employé tremblant Cratchit et toute sa famille unie autour de lui ; les inquiétants fantômes surgis des profondeurs : le troublant Marley, une Marie Souchon sensible et inquiétante, ou celui du Passé, noble et bouleversante  Elisa Edd, celui du Présent et celui du Futur, dont nous n’avons pas retenus les noms.
Tous  ces comédiens également impliqués et parfaits, tour à tour lecteurs, se partageant des rôles multiples, dansant, chantant, pleurant, nous entrainant dans l’allégresse et le sourire : Thérys Bibiloni, Mado Gratien,  Augustin Jouant, Maëline Leclaire, Léandre Leroy, Lucas Vangeluvhe.
Un beau jeu de scène, de l’émotion, de la joie, de l’enthousiasme, de l’espérance tant dans la lecture que le chant et la danse.  Un immense travail de composition et une sensibilité interprétative allant  bien au-delà du simple jeu. Félicitations à ces jeunes qui nous ont fait passer un après- midi bien riche et agréable. 
Un succès à la hauteur pour les spectateurs – amis de l’association Charles Dickens et amis venus de Lille, Calais, et aussi bien sûr de la côte d’Opale.

ApK & Béatrice Ficheux

une réaction au superbe spectacle

Lettre au Père Noël

Noël: Les fantômes hantent la conscience de Scrooge, l’inquiètent, le guident,
et de quelques secousses transforment son présent et éclairent son futur.
Les voûtes du silence intérieur s’entrouvrent, le champ jusqu’alors mort de ses étoiles perdues ou en souffrance s’illumine et de petits sursauts de joie à l’extase ouverte en un Chant clignotant, l’univers s’offre à la beauté regagnée.
Dis Père Noël, déposeras-tu un de ces présents au coin de mon sapin? Au coin du monde? Pour que la Paix et l’Espoir resplendissent et l’homme s’assagisse?
Dis Père Noël, l’inscriras-tu dans le livre des secrets que charrie ton traineau? Ma lettre court au souffle de la neige qui danse et nous offre toutes ses chances…y répondras-tu?
ApK

C’est demain: Demandez le programme!

N’oubliez pas …Venez NOMBREUXOn vous ATTEND

SAMEDI 10 /12/2022 à 15 Heures >SAMEDI 10 /12/22 à15 Heures>SAMEDI 10/12/22 à 15 H

Conservatoire de Lille
Adaptation et mise en place Agnès DELBARRE

   Chants et Danse Adaptés par Emanuela DUCORNEZ et Barbara FALCO

Interprètes- Comédiens

Thérys BIBILONI      Elisa EDDE      Mado GRATIEN       
Augustin JOUANT Maëline LECLAIRE   Léandre LEROY  
Marie SOUCHO   Lucas VANGELUVHE Teo VASSEUR       Loïc WARLOP

Merci au Département du Pas de Calais, et au Château d’Hardelot pour leur accueil

A Xmas Carol Le plus interprété des Contes de Noël de Dickens

En relisant l’article tiré de la conférence d’Amélie Gressier de novembre 2021, j’étais encore plus émerveillée des interprétations nombreuses et diversifiées du plus célèbre Conte de Noël qui soit au monde depuis sa parution le 7 décembre 1843: A Christmas Carol, Un Chant de Noël de Charles Dickens naturellement. Imaginez !Moins d’un mois après sa sortie, il était interprété et joué, voire déclamé ou chanté un peu partout à Londres et dans les grandes villes du pays.

En 1870 au décès de Dickens, son ami Wilkie Collins avait déclaré que le Maitre en avait donné plus de 125 lectures, et entre temps et depuis il a pris toutes les formes: théâtrale, mis en chansons, comédie musicale, cinéma, TV, BD etc. Seulement entre 1901 et 1923, donc au tout début du cinéma, plus de vingt films sortirent pour la grande joie du grand public (de quelques minutes à plus d’une demi-heure). Et depuis quasiment chaque année sortent une multitude d’interprétations dans le monde entier et pas seulement dans les pays anglo-saxons.

Une des dernières versions très suivies fut celle de la BBC en 2019 en plusieurs épisodes- rencontres des fantômes intérieurs du temps du héros- de chacun- qui fouille en sa conscience entre passé, présent et transforme l’avenir.

Le vieux grincheux, avare, aigri Scrooge du passé s’ouvrira au monde et ouvrira SON monde à l’Esprit de Noël tel que conçu par Dickens: générosité, bonté, et joie tout simplement. Scrooge échappera à ses fantômes archaïques, se projettera dans son nouveau monde et deviendra joyeux et gourmand et gourmet de l’existence, conscient d’un lui même renouvelé, des autres et du monde qui l’entoure et qu’il recrée.

Un miracle d’intelligence et de sensibilité qui laisse tout espérer et en ces temps présents si rudes, où le monde inquiet semble devenir indifférent ou effréné de consommation (réconfortante ?), sinon frivole du moins superficiel, un tel conte donne à penser, donne à rêver, offre à espérer.

Comment? En douceur, en chants traditionnels, dans l’enchantement du plus beau théâtre Elisabéthain de Condette, dans les éclatantes- oh puis allons-y- enchanteresses lumières de Noël qui illuminent le parc et le Château d’Hardelot en ce premier samedi de décembre.

Non, rassurez-vous ceci n’est pas une pub, mais une promesse de plaisir et d’espoir telle que je la ressens aujourd’hui et que j’aimerais partager c’est tout…un peu fou? Pourquoi pas?

Ap. K

Un article intéressant

A CHRISTMAS CAROL Adaptation théâtrale du conte de noël Charles Dickens

in (Ulule, 2 juin 2018 extraits)

Retrouvez cet article passionnant que nous a adressé un ami de l’association que nous remercions vivement pour son intérêt et les découvertes qu’il nous offre par les nombreux articles qu’il nous adresse régulièrement
Malheureusement, et je m’en excuse vivement, je n’ai pas su le reproduire intégralement avec ses magnifiques illustrations, mais avec la référence vous aidera surement le retrouver sur le net
À propos du projet
A Christmas carol est un projet de théâtre onirique et fantastique avec du jeu théâtral, du masque, des marionnettes et du théâtre d’objet
SE CONFRONTER A LA PEUR , UN JEU D’ENFANT (LA NAISSANCE DU PROJET):
Au tout début, c’est une envie de recréer une expérience vécue pendant l’enfance face à ces oeuvres qui fascinent tant elles nous confrontent à la peur, à l’étrange, au surnaturel sans jamais nous traumatiser mais au contraire nous inviter à explorer l’inhabituel et se laisser happer par la magie de l’histoire et des rencontres imprévues.
Pour en ressortir émerveillé et envieux de trouver d’autres oeuvres de ce genre.
Quelques exemples: les Chair de poule , Fais-moi peur, Les contes de la crypte, Beetlejuice, La petite boutique des horreurs, La Famille Adams , Casper, etc…
Nous avions également envie de se consacrer à un spectacle de Noël et le choix évident pour concilier ces deux thématiques fut « Christmas Carol » de Charles Dickens, car oui l’oeuvre de Dickens est un conte de Noël mais aussi une histoire de fantômes !
Les enfants aiment jouer à se faire peur, c’est un sentiment humain, normal. C’est cathartique. Pour nous, il ne s’agit pas tant de faire peur mais d’apprendre à maitriser cette peur, à se familiariser à ce sentiment et savoir ce qu’il exprime. La peur est souvent liée à l’inconnu mais si on dépasse la première impression on en ressort grandi. Et c’est là où le public et notre personnage principal: Ebenezer Scrooge auront un point commun.


L’OEUVRE DE CHARLES DICKENS:
« Scrooge » en anglais est un mot devenu synonyme d’avare, tout comme « Renard » est devenu le mot de référence pour désigner un goupil, à tel point qu’on a fini par l’assimiler et l’oublier.
Il y a de ces oeuvres qui marquent tellement une société qu’elle en influence son vocabulaire, mais aussi son imaginaire : A Christmas Carol de Charles Dickens est à l’origine de l’esprit de noël tel qu’on le conçoit aujourd’hui et tel qu’on le retrouve dans de nombreuses oeuvres à la sortie de Noël.
C’est également l’origine du célèbre personnage Picsou, Scrooge McDuck étant son nom original:
Mais si l’oeuvre de Dickens a fonctionné c’est tant dans sa notion féérique que fantastique.
« Marley était mort, pour commencer. Là-dessus, pas l’ombre d’un doute » sont les premiers mots de l’oeuvre, s’en suit un peu plus loin :
« Il n’y a pas de doute que Marley était mort : ceci doit être parfaitement compris, autrement l’histoire que je vais vous raconter ne pourrait rien avoir de merveilleux. Si nous n’étions pas bien convaincus que le père d’Hamlet est mort, avant que la pièce commence, il n’y aurait rien de plus remarquable à le voir rôder la nuit »
Il y a un équilibre entre la magie de ce conte de Noël et l’épouvante de cette histoire de fantôme. Elle existe dans le livre grâce à l’humour des personnages, le soin du détail nous permettant l’immersion dans les moments féériques comme les moments tragiques, les personnages secondaires l’évolution du personnage qui passe du anti-héros au grand père qu’on voudrait tous avoir dans sa famille. C’est un équilbre que nous souhaitons retrouver dans la pièce.
DE QUOI PARLE LA PIECE:
D’une transformation:
UN MOT DU METTEUR EN SCENE:
A Christmas Carol nous raconte comment s’ouvrir aux autres et se détacher de l’aspect matériel de nos vies, car dans notre tombe nous n’emportons rien de physique.
J’ai découvert cette oeuvre en étant enfant, grâce à la version des Muppets de Jim Henson:
J’étais vraiment tout petit et j’en garde pourtant un souvenir émerveillé, amusé et curieux.
L’histoire m’avait marqué pour son aspect à la fois drôle, magique, triste, joyeuse & inquiétante.
Et bien qu’à l’époque j’ignorais tout de l’époque victorienne, des inégalités sociales, de l’aliénation au monde du travail, j’avais compris une chose :
Scrooge est méchant avec les gens, il se rend compte qu’il fait du mal aux autres et à lui même grâce à la magie des esprits et à la fin il est gentil et heureux
Ce fut la première oeuvre à m’apprendre le concept de rédemption, d’évolution, de remise en question. En tant qu’artiste on passe notre temps à nous remettre en question, à chercher à évoluer, à apprendre de ses erreurs ou à les sublimer.
A l’échelle humaine, on nous présente un homme avare, misanthrope, violent, abusif et égoïste qui a réduit son champs des possible au pragmatisme désenchanté de son quotidien et dont le comportement a des répercussions catastrophiques sur son entourage.
Il finit par se confronter à ses propres erreurs, émotions enfouies et échecs. A étendre sa vision à celle du monde qui l’entoure et son impact sur celle-ci via l’apparition de trois esprits de Noël (Passé, Présent & Futur) mandatés par son ancien camarade de travail et associé, prisonnier à jamais par les chaines de ses propres agissements cupides et égoïstes avant sa mort .
A l’échelle sociale, l’oeuvre confronte un homme d’influence riche et puissant donc, au reste de la société modeste ou pauvre à une période de l’année où la faim, le froid et la pauvreté sont synonymes de précarité, de souffrance, voire de mort.
Un homme qui n’a d’yeux que pour son travail, qui n’a rien connu d’autre et qui n’a jamais reçu l’aide de qui que ce soit et considère ceux qui ne suivent pas sa démarche comme de bons à rien, des profiteurs, des voleurs, des sangsues de la société. Il croit au gouvernement en place et la capacité de l’état à gérer les problèmes des plus démunis.
Jusqu’à ce qu’il s’y confronte vraiment et se rende compte qu’il est plus à même d’agir lui-même.
A l’époque où l’oeuvre est écrite, elle est une satire sociale du patronat et de l’entreprenariat de l’époque Victorienne. Epoque usant et abusant des classes les plus modestes, moyennes ou pauvre étant largement éclipsées par les classe riches et volontairement ignorées surtout pendant la période des fêtes.
Dickens se sert du personnage de Scrooge comme catalyseur pour que chaque lecteur se retrouve confronté à la dimension humaine de la misère et de l’ignorance.
A QUOI VA RESSEMBLER LE SPECTACLE:
Nous travaillons étroitement avec notre graphiste Marina Coudray (http://marinacoudray.wixsite.com/portfolio)
qui s’occupe de l’aspect esthétique de la compagnie et des spectacles :
Nous avons donc réfléchi ensemble à l’ambiance générale que nous voulions donner à l’oeuvre et avons opté pour l’expressionnisme allemand. Le choix de ce style nous permet de casser les lignes, les cadres, de tordre les perspectives tout en gardant une cohérence dans l’espace. Ici le réel rencontre le fantastique.
Et beaucoup d’entre vous reconnaitrons l’expressionnisme allemand comme source d’inspiration de Tim Burton.
Il sera entièrement interactif, chaque élément a été réfléchi autant pour sa symbolique que pour sa capacité à surprendre par l’éruption des marionnettes sur le plateau.
Les personnages, hormis celui de Scrooge, seront des marionnettes. Des marionnettes qui jaillissent dans le monde de Scrooge et disparaissent aussitôt comme les volets d’un calendrier de l’avant que l’on ouvre et referme.


UN SPECTACLE BILINGUE
J’ai passé plus de trois ans en Angleterre à me passionner pour la langue et ses subtilités, ses différences et ses similitudes avec notre propre langue, au point que parfois j’en perds mon latin… euh… Français.
Bref! Nous avons décidé ensemble de proposer le spectacle en français et dans sa langue originale: l’anglais.
Je serai en charge de traduire l’adaptation théâtrale (en m’appuyant sur le texte original évidemment) et de guider nos comédiens dans la compréhension et la prononciation de cette langue merveilleuse.
BIO DE LA COMPAGNIE: Compagnie_Bric_à_Brac Agen
La Compagnie Bric à Brac voit le jour en 2012 avec Bastien Lecomte à la direction Artistique et entame son partenariat avec les associations médiévales La Herpaille et Les Mortes Payes.
Elle prend son essor en 2014 avec la création de “la Poupée et le Chevalier” et le partenariat avec la compagnie les Fileuses d’Embarras: Marina Coudray et Alice Oudet dans la production de leur spectacle “Sur les Pas de Melhaa” et “l’Animatum Chimera Melhaa”.
En 2016 après l’arrivée de Marc-Anthony Gomes, les Fileuses d’Embarras et la Compagnie Bric à Brac mergent pour ne former qu’une seule entité et pour créer ensemble un nouveau projet: “Omoloùnkà”.
INTERVENTIONS:
-Ateliers Théâtre avec la Mission Locale de l’Agenais dans le cadre du programme Garantie Jeune.
-Ateliers Théâtre et Créations de Marionnettes avec L’association ADEM Le Florida, la SACEM et L’inspection Académique. –
Direction des Ateliers Théâtre de la troupe de l’Être et de l’association de théâtre amateur d’Astaffort.
-Temps d’Activités Périscolaires avec la municipalité d’Agen –
Participation au projet de revalorisation du Patrimoine: “Au fil de Garonne”. –
Partenariat avec les associations Les Mortes Payes et La Herpaille dans leurs tournées annuelles des festivals Médiévaux. Dont la création d’un Spectacle de Feu et d’un village médiéval théâtral.

HISTORIQUE DES CREATIONS:
2014 – La Poupée et le Chevalier
2015 – Sur Les Pas de Melhaa
2016 – Animatum Chimera Melhaa
2017 – Omoloùnkà, La Marche de l’Homme Vert
QUELQUES DATES:
25, 26 et 27 septembre 2015 Mondiale de la marionnette, (08)
19 et 20 septembre 2015, 16 et 17 septembre 2017 Cidre et Dragon (14)
2 au 6 juin 2015 au Théâtre du Grand Rond, Toulouse (31) 21 et 22 janvier 2015, 13 Octobre 2016 Cabaret Le Kalinka, Toulouse (31) 06 Octobre 2016 Parc Naturel Régional des Landes de Gascogne, 40)
9 octobre 2014 au Gros Chêne (44) 25 novembre 2014, 27 Février 2016 au Cap Cinema Agen (47) 9 janvier 2018, 30 Décembre 2016, 04 Janvier 2017 Clairac (47) 17, 18 & 19 Novembre 2017
Festival Fous d’Histoire Compiègne (60) 12,13, 14 Avril 2016
Festival de l’oiseau et de la nature, Abbeville (80)
1,2 et 3 Septembre 2017 Buttes, Suisse (2406)
Ulule, 2 juin 2018
extraits

A Christmas Carol lecture spectacle au théâtre élisabéthain- château d’Hardelot

Nous y voilà! Les Amis de Dickens se lancent dans une belle aventure: organiser un spectacle autour de Dickens, esprit de Dickens, esprit de Noël

Nous ne sommes pas seuls !!!
A l’invitation du Château  de l’Entente Cordiale à Hardelot & du département du Pas de Calais et avec le soutien de la mairie de Lille et du DSU de Boulogne sur mer et en lien avec le Conservatoire Lille

L’Association présente
au Théâtre Elisabéthain du Château, 1 rue de la Source, à Condette (62360)

                Le samedi 10 décembre à 15 heures

                    Un chant de Noël
d’après A Christmas Carol de Charles Dickens  

Une lecture-spectacle chorégraphiée, accompagnée de chants de Noël 
                par les élèves du département théâtre du Conservatoire de Lille
dans le somptueux environnement du château, son théâtre, sa salle souvenirs Dickens… du plaisir, du bonheur en perspective
Billet : 4€,
gratuit pour les moins de 10 ans, 3€/personne par groupe de 10 personnes   
Réservation : amisdickensfrance@outlook.fr ou 06 10 32 26 49
Une partie de la recette fera l’objet d’un don à une association de la petite enfance

Transmettez l’info, Venez nombreux, Soyons joyeux

Welcome Avec Plaisir Siiiiire, My Lady

Vu du Royaume-Uni Pour vivre la nuit aussi, allez à Paris plutôt qu’à Londres (Courrier International 19/11/22) https://www.courrierinternational.com/

extrait du journal Anglais The Spectator (Londres), daté du 18 octobre 2022 et signé Karine Kennedy

Un article extrait de la revue hebdomadaire Le Courrier International, que pourriez lire avec autant de plaisir et d’amusement que nous. Nous n’en citons que quelques lignes mais vous pouvez le consulter sur cet excellent journal qui nous informe sur l’état global du monde à travers la presse internationale et nous facilite la lecture.
Une rubrique apparait régulièrement sur le regard de nos amis anglais sur la France, Paris, les vacances dans nos régions et ces…insupportables Frères alliés… cocorico…Les Français bien sûr
et toujours avec un clin d’oeil sympathique…
Un … « Notre Ami Commun » Charles Dickens n’est jamais loin…
Je cite à partir d’ici:

« Arrivée avec un lourd bagage d’appréhensions dans la capitale française, une journaliste britannique découvre un Paris ouvert, sociable et tolérant sur la vie nocturne, dont Londres ferait bien de s’inspirer, selon elle.  »

La suite en quelques gros titres de paragraphes

En ouverture : « J’avais tellement envie de détester ce séjour.

Puis : Savoir vivre…..il ne m’a pas fallu longtemps pour comprendre que tout dans le Français n’était pas intégralement détestable*.

Puis : L’âme d’une métropole…un “café”. Le genre d’endroit qui, ici, sert des expressos et des croissants le matin, des chèvres chauds avec un verre de sauvignon le midi, et le soir ? Des cocktails à bon prix et des cigarettes jusqu’à au moins 1 heure du matin…..

Et encore : Souplesse et décontraction… Les Français ont une conception réaliste de la vie en ville

Et enfin : Les Français, eux, sont animés par la joie de vivre« 

Réaliste? Un peu flatteur non? Mais vraiment dans l’esprit d’alors de Charles Dickens largement évoqué dans nombre d’ articles de ses deux revues phares Houshold Words et All the Year Round. Dickens aimait les cafés, les théâtres et la facilité de vie « à la française » ou à la » parisienne »…

Et histoire de rire, pour citer, en contrepoint, le grand succès chanté de la coquine adorable Marie-Paule Belle  » Je ne suis pas Parisienne, ça me gêne, ça me gêne »… Moi, je le suis et ça me gêne autant. Amusons-nous un peu…

http://www.spectator.co.uk The Spectator est une institution de la presse britannique. Fondé en 1828, c’est le journal de référence des intellectuels et dirigeants conservateurs, mais aussi des eurosceptiques : The Spectator a soutenu la sortie de l’Union européenne lors du référendum de 2016. Réputé pour ses analyses et son ton incisif, il appartient depuis 1989 au même groupe que 
The Daily Telegraph.

ApK: cet article n’engage que son autrice

En route vers le Futur

Lundi 21 Novembre 2022- 15heures-17heures
Maison des Associations, 19 rue de Wicardenne
à Boulogne sur mer

L’Assemblée Générale se réunira en toute amitié Dickensienne et
après les bilans, rapports sur les passé immédiat, s’offrira aux amis
l’occasion de renouveler le bureau: Tournons- nous vers le futur,
ouvrons
des voies nouvelles, des pages nouvelles, des regards nouveaux.
Prêts?
Vous êtes attendus avec plaisir; venez nombreux exprimez-vous
Pour rappel, le programme pour 2023 et une mini invite pour
le spectacle lecture prévu le 10 décembre 15heures au
Théâtre Elisabéthain du Château d’Hardelot

Vous en saurez plus bientôt

                         Le programme à venir
                    
Lundi 21 Novembre :
 Assemblée Générale
10 décembre  15 heures:
théâtre Elisabéthain château d’Hardelot: Lecture –spectacle Un chant de Noël par le Conservatoire de Lille, en collaboration avec la Mairie   
Auparavant : Présentation au Collège Daunou par Stéphanie Curtet enseignante
                           ***   ***       ***
Rentrée de Janvier 2023
Lundi 30 Janvier : Les méthodistes – Alain Joblin
Mardi 7 février : Repas anniversaire de Dickens (à préciser)
Lundi 27 mars :
Le Prince Albert et la Reine Victoria- Albretcht Von Schoenen
Lundi 24 avril : Disraeli : Le romancier Sébastien Danels (doctorant Université Valenciennes)
Lundi 15 Mai : Dickens et Paris par Annpôl Kassis (sous réserve)
Fin juin :  Inauguration du Jardin Ephémère- Boulogne ou une surprise musicale et poétique ( c’est selon /sous réserve)